Questions - Réponses

Vous trouverez ci-dessous une foire aux questions, soit celles qui me sont le plus fréquemment demandées. Si vous avez des interrogations qui n’ont pas été répondues ici, il me fera plaisir d’y répondre, par courriel ou téléphone
Est-ce que la maison funéraire peut refuser une urne qui n'est pas achetée chez eux ?

Non, car une loi fédérale protège le choix du consommateur. Parlez-en au responsable, et expliquez-lui que vous souhaitez soutenir une artiste en art funéraire qui crée des pièces uniques. Assurez-vous de connaître avec précision les dimensions requises si vous placez l’urne dans une niche funéraire. Certains columbariums refusent les urnes en bois.

Mes urnes répondent aux exigences de volume de l’industrie, c’est-à-dire 3,3 litres (ou 200 pouces cubes).

Notez bien : il est contre la loi de demander des frais supplémentaires pour s’occuper d’une urne, même si on la fournit.

Puis-je aller voir vos urnes en personne et vous rencontrer ?

Oui, avec plaisir. Il est toujours préférable de prendre rendez-vous, par contre.

Dans combien de jours l’urne arrivera chez moi après l’envoi ?

Le délai est variable. En moyenne, entre 2 et 4 jours, mais cela
dépend de votre lieu de résidence (voir la section Collecte, expédition
et retour
).

Combien de temps faut-il pour réaliser une urne personnalisée ? Quels sont les coûts ?

Entre 2 jours et 2 mois. Je m’adapte à votre situation. Nous trouverons ensemble des solutions techniques pour répondre à vos besoins. Le prix de base est de 500 $ + le temps alloué à la sculpture : un devis vous sera présenté. Voir la section Urnes funéraires personnalisées pour plus de détails.

Est-ce que je peux garder l’urne de chez moi ?

Oui. Au Québec, aucune loi n’indique la façon de disposer des cendres d’un défunt. Tout est possible, ou presque, parce que les cendres n’ont pas le statut de restes humains. La totalité des cendres ou seulement une partie peuvent être conservées, ou dispersées, selon le désir du défunt ou de sa famille.

Est-ce que vous trouvez dommage devoir vos œuvres finir dans la terre ?

Non, pas du tout. J’éprouve du plaisir à travailler le bois et une sérénité devant le rite du retour à la terre. Il était courant jadis, dans les grandes civilisations, de mettre le défunt en terre avec ses plus beaux objets. Je le vois comme un honneur.

Je reste sensible devant le vide que vivent les gens, à la suite de l’enterrement d’un être cher. Pour certaines commandes personnalisées, il m’est arrivé de produire un montage permettant à la famille de conserver la section sculptée de l’urne.