Questions - Réponses
Non, car une loi fédérale protège le choix du consommateur. Parlez-en au responsable, et expliquez-lui que vous souhaitez soutenir une artiste en art funéraire qui crée des pièces uniques. Assurez-vous de connaître avec précision les dimensions requises si vous placez l’urne dans une niche funéraire. Certains columbariums refusent les urnes en bois.
Mes urnes répondent aux exigences de volume de l’industrie, c’est-à-dire 3,3 litres (ou 200 pouces cubes).
Notez bien : il est contre la loi de demander des frais supplémentaires pour s’occuper d’une urne, même si on la fournit.
Oui, avec plaisir. Il est toujours préférable de prendre rendez-vous, par contre.
Le délai est variable. En moyenne, entre 2 et 4 jours, mais cela
dépend de votre lieu de résidence (voir la section Collecte, expédition
et retour).
Entre 2 jours et 2 mois. Je m’adapte à votre situation. Nous trouverons ensemble des solutions techniques pour répondre à vos besoins. Le prix de base est de 500 $ + le temps alloué à la sculpture : un devis vous sera présenté. Voir la section Urnes funéraires personnalisées pour plus de détails.
Oui. Au Québec, aucune loi n’indique la façon de disposer des cendres d’un défunt. Tout est possible, ou presque, parce que les cendres n’ont pas le statut de restes humains. La totalité des cendres ou seulement une partie peuvent être conservées, ou dispersées, selon le désir du défunt ou de sa famille.
Non, pas du tout. J’éprouve du plaisir à travailler le bois et une sérénité devant le rite du retour à la terre. Il était courant jadis, dans les grandes civilisations, de mettre le défunt en terre avec ses plus beaux objets. Je le vois comme un honneur.
Je reste sensible devant le vide que vivent les gens, à la suite de l’enterrement d’un être cher. Pour certaines commandes personnalisées, il m’est arrivé de produire un montage permettant à la famille de conserver la section sculptée de l’urne.